L’entreprise familiale de lingerie haut de gamme Simone Pérèle a passé haut la main le cap de la troisième génération. Mathieu Grodner, petit-fils de la fondatrice de l’entreprise en 1948, a pris les commandes en 2015.
Linkedin_Le_Figaro_Philippe_GrodnerJean-Eudes Tesson – Diplômé de l’Ecole Centrale de Paris (1980), Jean-Eudes Tesson rejoint son père Yves au sein de l’entreprise familiale créée par son grand-père Jean en 1919 aux Sables d’Olonne.
Le 1er février 2022, il a lui-même passé le flambeau de l’entreprise TESSON à sa fille Priscille Gauthier.
Le groupe TESSON dont l’activité initiale était la fabrication de pains de glace s’est développé initialement dans l’entreposage frigorifique, mais s’est désengagé de cette activité en 2019 pour concentrer les moyens sur les autres activités créées par Jean-Eudes TESSON :
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La logistique des vins et spiritueux avec DARTESS, leader français du secteur
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Le digital avec INNLOG, spécialisée dans l’accompagnement des acteurs de la distribution et de la logistique dans la transformation numérique
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La production de froid avec FRINERGY, qui exploite à façon des installations frigorifiques (200 établissements) pour leur permettre de réussir leur transition énergétique
La distribution des vins et spiritueux avec WINETAILORS, qui exploite une plateforme d’intermédiation.
Jean-Eudes TESSON a assuré la présidence d’organismes dans des secteurs très divers (sport, exclusion sociale, enseignement supérieur et recherche) Depuis 10 ans il préside l’Urssaf Caisse Nationale et l’Ucanss (Union des caisses nationales de sécurité sociale) qui regroupe l’Assurance Maladie, les Allocations Familiales, la Vieillesse et les Urssaf. Il est également Président du Club des Trente.
« La préparation de ma succession, la cession de l’activité historique pour développer les activités plus récentes et l’arrivée de la 4ème génération, nous on conduit à une remise en cause importante de la gouvernance et également de mettre en place une bourse familiale, permettant à chaque membre de la famille d’acquérir ou céder des actions, une fois par an. Le premier bénéfice a été un développement spectaculaire de l’affection societatis (on n’est plus actionnaire par héritage mais par choix). Ces changements ont été aussi l’occasion de renforcer la relation entre les actionnaires familiaux. J’ai compris à cette occasion l’importance d’entretenir cette relation, d’en prendre soin et de transformer la confiance a priori en confiance construite. C’est la pérennité de nos entreprises familiales qui est en jeu et je suis disponible pour y contribuer en participant à l’animation du réseau FBN «